La quadrilogie « L’amie prodigieuse » d’Elena Ferrante a été pour moi un choc littéraire comme je n’en. avais pas eu depuis longtemps. Je me suis revue enfant à la même époque, bon, à Paris, dans un milieu moins dur, mais il y a des impressions, des images, et quelques côtés un peu sordides qui sont communs, on reçoit son enfance en pleine figure. Je me moque de l’identité réelle de l’auteur, respectons ce choix d’anonymat. Mais il est sûr que ces faits relatés ont été vécus, ressentis. Il FAUT lire cette série, surtout si l’on aime le cinéma italien des années 50, on revoit La Ciocciara, la dolce vita, Riz amer, la Strada, le voleur de bicyclette...
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